• La toilette de la personne âgée : quand le soin interpelle la pudeur

    Karine JACOB                           

    Etudiante Infirmière  

    Promotion 1997/2000                                                                           

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Institut de Formation en Soins Infirmiers de Morlaix

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    La toilette de la personne âgée :<o:p></o:p>

    Quand le soin interpelle la pudeur<o:p></o:p>

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    Lorsque l'équipe de formation de l'IFSI nousa demandé de choisir un thème de mémoire, j'ai décidé de partir du sujet "le respect de la pudeur de la personne hospitalisée". Puis j’ai choisi de m’arrêter plus particulièrement sur un soin que l’on pratique tous les jours à l’hôpital, et qui pour moi est le plus essentiel lorsqu’on parle de respect de la pudeur : la toilette de la personne âgée.

    En tant qu’étudiante infirmière, durant toute ma formation, et plus particulièrement lors des stages, j’ai eu l’occasion de « prendre en soin » des personnes qui étaient le plus souvent des personnes âgées. Avant de commencer, la toilette me semblait être un moment peu enrichissant, mais je me suis aperçue qu’en tant que stagiaire j’avais plus de temps à accorder aux personnes, et que ce soin pouvait permettre d’apprendre beaucoup de choses sur ces « patients ». Puis, j’ai été surprise par l’attitude parfois très froide de certains soignants, qui ne faisaient même plus attention à ce que ressentait la personne pendant le soin, en particulier lorsque la toilette se faisait à deux. Par ailleurs, les soignants ne semblent pas pour la plupart dérangés par la nudité des personnes dans ces moments-là.<o:p></o:p>

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    En effet, je suis toujours interpellée lorsqu’à l’hôpital les patients se retrouvent nus devant les soignants, sous le regard de plusieurs personnes parfois, dans le cadre des soins ou des examens.

    L’on observe ainsi souvent des personnes dénudées entièrement pour faire leur toilette, l’absence de paravents dans les chambres à deux lits, les portes qui restent ouvertes pendant les soins, l’entrée (sans frapper parfois) des soignants dans la chambre alors que la personne est nue, fait sa toilette ou est aux cabinets.

    Or, je pense qu’il n’est jamais agréable de se retrouver nu devant une personne étrangère, de laisser faire « les autres » pour soi, de leur demander le bassin…, de dépendre des autres pour des choses de la vie courante, comme la toilette par exemple, des choses pourtant très naturelles.

    Aussi il me semble normal que les personnes que l’on  « prend en charge » à l’hôpital éprouvent parfois une gène, voire une honte pour certains, ou simplement une réticence à demander de l’aide pour ces choses que le tout un chacun fait habituellement seul ou dans le cadre d’une certaine intimité.

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                En ce qui concerne les personnes âgées, ma formation m’a introduit au plus près de cette intimité que je ne connaissais pas. Je suis entrée en tant qu’étudiante dans une découverte du corps du vieux, de la grand-mère… Après avoir appris les différentes méthodes pour effectuer une toilette ou une aide à la toilette, il m’a fallu apprendre à entrer en relation avec  ces personnes que j’ai eu à aider dans l’accomplissement de leurs gestes quotidiens. Il s’agissait pour moi d’essayer de me mettre à l’aise, et surtout d’indisposer le moins possible cette personne âgée qui avait malgré elle besoin de mon aide…     

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    Je m’interroge donc sur la gêne que peuvent ressentir ces personnes que l’on soigne, sur la manière dont elle est prise en compte par les soignants, et sur l’incidence que cela a sur la personne et son ressenti. Plus particulièrement, il me semble que la relation des soignants avec les personnes soignées est plus ambiguë encore lorsqu’il s’agit de personnes âgées.

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    Pour les infirmières, la toilette, bien qu’elle soit un acte relevant du rôle de l’ infirmière , reste souvent un soin que l’on ne fait pas de bon gré, et que l’on délègue facilement. De plus, il y a encore beaucoup d’interrogations, de préjugés et d’interdits qui font barrière entre le soigné et le soignant, et qui font que lors de ce soin la « relation thérapeutique » s’établit difficilement.

     

    <o:p>mon hypothèse:</o:p>

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                « Lors des soins d’hygiène ( en particulier la toilette ) , les soignants peuvent oublier la personne en tant que sujet. Le respect de la pudeur ayant une incidence sur le vécu du soin, pour la personne âgée hospitalisée, un possible non-respect de cette pudeur peut  induire une souffrance ( qui ne va pas dans le sens du soin )  » .<o:p></o:p>

     

    Ma conclusion : Perspectives soignantes et positionnement professionnel

     

    Lors de l’élaboration de ce travail sur la place du respect de la pudeur dans le soin, je me suis rendue compte à quel point la pudeur est un sujet difficile à aborder, pour les soignants comme pour les personnes âgées.

    En ce qui concerne les personnes âgées, bien que très volontaires pour répondre à mes questions, elles ont eu beaucoup de difficultés à exprimer ce qu’elles pensaient de ce sujet, car il recoupe des non-dits, des tabous qui ne sont pas souvent abordés, d’autant plus avec des personnes étrangères. L’on n’imagine pas assez la souffrance et la honte que peuvent ressentir les personnes âgées face à leurs pudeurs dévoilées ; à leur époque, tout était caché, le corps était quelque chose que l’on respectait.<o:p></o:p>

    Par ailleurs, poser des questions permet de se repositionner face à des affirmations, des principes, des façons de penser ou de faire, sans pour autant affirmer qu’ils sont négatifs. Comme me l’ont dit les soignants que j’ai rencontrés : « c’est pour cela que ça fait du bien de recevoir des élèves, ça permet de se remettre en question ». Par leurs questions et leurs attitudes qui ne sont pas encore marqués des automatismes professionnels, les novices peuvent faire redécouvrir aux soignants ce qui rend une relation plus naturelle, plus « instinctuelle ». Cependant, les jeunes soignants, comme moi, sont aussi confrontés à la découverte du corps de la personne soignée, de la personne âgée, ce qui peut être angoissant parfois. <o:p></o:p>

                 <o:p></o:p>

    La toilette, nécessaire à toute personne qui ne peut plus « s’assumer » elle-même, est jugée comme un travail commun, contraignant et peu intéressant car dépourvu de tout prestige. Répétitif, fatiguant, la plupart des soignants l’assimilent à une corvée.  Mais cette relation de toilette est également dite très importante pour la personne soignée, car elle permet de mieux connaître cette dernière dans un contexte plus intime et plus détendu que celui nécessaire aux soins plus agressifs ; cependant, la toilette peut aussi être un soin douloureux et éprouvant que la personne âgée peut redouter. <o:p></o:p>

     « Etre en souffrance »,  la personne âgée hospitalisée se trouve le plus souvent dans une situation qui associe un traumatisme physique et psychique, et une perte de repères dans un contexte de fragilité. La capacité du soignant de recevoir l’angoisse et la détresse de la personne devient alors primordiale. Savoir-être et  savoir-faire infirmiers doivent pouvoir se conjuguer pour permettre d’améliorer la relation de soin.<o:p></o:p>

    Pour arriver à une relation positive, il faut donc que le soignant respecte la pudeur de la personne et préserve ses habitudes de vie.  Organisation et gestuelle ont pour but de prévenir tout risque d’atteinte à la pudeur lors des toilettes. Mais malgré cela, la personne soignée souffre forcément d’une atteinte à sa pudeur, car les soins d’hygiène dévoilent ce qui est considéré comme intime et qui fait intervenir le sentiment de pudeur : le corps dénudé soumis au regard  et au toucher d’autrui. Il ne s’agit donc pas pour les soignants de nier  les troubles et souffrances que peuvent ressentir les personnes âgées, mais d’essayer d’aller au delà pour leur assurer un maximum de bien-être, et éviter d’aggraver leur malaise lié à la violation de leur espace intime.<o:p></o:p>

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    La toilette, même si elle est réalisée dans un cadre médicalisé, n’est pas un soin médical à proprement parler. Les soins d’hygiène ouvrent un espace de parole dans lequel tout est imprévisible et donc possible. Permettant  de sortir de la relation médicale classique, les malades sont poussés par ces soins révélateurs à exprimer leurs émotions, avec leurs mots à eux ou par le biais de leur corps (quand les mots ne peuvent pas s’exprimer), ce qui peut parfois gêner : « Alors que les soins d’hygiène ouvrent un espace pour le sujet soigné, les soignants, pris un moment dans le désir de ce dernier, s’en dégagent non sans malaise en revenant vers la maladie, objet de la médecine et des médecins. » (note 19) . <o:p></o:p>

    Par ailleurs, ce corps dans lequel le sujet bouge ou s’immobilise, dans lequel il parle ou se tait, est un témoin de sa relation aux autres et à lui-même. Le corps vieillissant reste le marqueur du rapport que le sujet âgé entretient avec son narcissisme et avec le monde .  Vieillir peut être une épreuve pour la personne âgée, car cela entraîne une angoisse de ne plus être regardée, de ne plus se trouver d’existence dans le regard de l’autre. Le corps qui vieilli est un corps qui perd le pouvoir de séduire, et voir son image disparaître au regard d’autrui , c’est ressentir une perte de l’image de soi. Cette épreuve peut être à la base d’une  perte de l’estime de soi, une dévalorisation narcissique, une souffrance. <o:p></o:p>

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    L’attitude du soignant pendant le soin est donc très importante et doit prendre en considération tous ces aspects. Le problème, dans le cadre de ces soins, n’est pas de respecter la personne mais de savoir l’écouter dans ses paroles et ses attitudes, au delà des plaintes ou des remarques, car il y a toujours derrière un désir d’être reconnu et aidé.<o:p></o:p>

    Mais dans les soins infirmiers, « il est plus facile d’apprendre que de désapprendre . Faire des soins globaux à une personne, et non pas en série, demande une redécouverte des besoins fondamentaux et des comportements de l’individu, mais surtout une remise en cause de la personne que nous sommes en tant que soignant ».  (note 13)<o:p></o:p>

    Une réflexion permet de réveiller notre manière de penser et de faire, nos interdits, nos préjugés, tout ce qui nous permet de bâtir notre vie, et notre vie professionnelle. Pour permettre de concevoir une autre façon de faire, il faut détruire l’équilibre sur lequel reposait notre conception des soins, ce qui peut être déstabilisant, insécurisant.<o:p></o:p>

    De plus, les infirmières rencontrent des difficultés à s’investir dans des soins tels que la toilette, car il existe un clivage culturel entre les soins de base et les soins médicaux, une opposition de deux conceptions de relation de soins dont l’une est fondée sur la reconnaissance du sujet malade et l’autre sur son exclusion pour mieux traiter sa maladie, et par ailleurs une modélisation du rôle propre infirmier  qui s’éloigne de l’initiative et de l’autonomie souhaitées. <o:p></o:p>

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    Il reste que les besoins humains élémentaires, les soins d’ « entretien de la vie », sont pour moi une condition de l’amélioration de l’état de santé de la personne âgée (et de toute personne soignée en général), et représentent une garantie de son épanouissement personnel, ce qui est le sens à donner aux soins infirmiers. Le respect des habitudes de vie, et donc des sentiments comme la pudeur, participent également au maintien  de l’équilibre psychique de la personne. <o:p></o:p>

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    Je terminerai par une citation de Marie-Françoise COLLIERE que je laisse à la réflexion de chacun : « La vie se retire à chaque fois que l’on se préoccupe davantage de ce qui meurt que de ce qui vit ».

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    visiteur_mag35
    Samedi 21 Avril 2007 à 21:16
    jsui ?v AS jvi1 de lir ton m?ire je l?rouver tr?nt?ssan et jsui tou a f?accord avec toi quan tu di que pa assez de mond sint?sse a se probl?. J?encontrer certaines situations en stage qui mont vr?n fai peur dans le sens ou je nesp? pa r?ir ou f? l?oin de cette fa? dan le futur. les personnes n'ont pa l'impression de se rendre compte de leur comportement.
    jte remercie pour ce que tu a ?it et te f?cite.
    2
    visiteur_lee-lou
    Jeudi 10 Mai 2007 à 09:34
    G?al ton tfe. Je suis as en g?atrie et je pense que certaines coll?es pourraient en prendre de la graine. Le respect de la pudeur et de la personne est pour moi le commencement d'un "bon soin" et le plus important!
    3
    visiteur_liberty
    Jeudi 1er Novembre 2007 à 12:45
    merci pour ce travail, je suis actuellement ?diante en soins infirmiers (ancienne aux pu?culture reprennant ses ?des apr?15ans de m?er).ce document m'ouvre des pistes sur la pr?ntation future de mon travail...quant ?ahiti, lieu de r?dence de mon compagnon, merci des renseignements qui me confortent de rester en france pour les enfants!...
    4
    visiteur_tounès
    Jeudi 14 Février 2008 à 23:42
    je suis AS travaillant dans un SSR je suis int?ss?ar ton m?ire pourrais tu me l'envoy?ar email a l'adresse suivante : saadi.mahah@wanadoo.fr
    5
    visiteur_Loute
    Jeudi 17 Avril 2008 à 15:52
    Je suis en carri? sanitaire et sociale, j'ai effectu?n stage en maison de retraite. Il est vraie que beaucoup de personnel ne respecte pas la personne ?e, que les toilettes sont effectu?le plus rapidement possible, l'autonomie n'est pas laiss? la personne pour aller encore plus vite. Bien souvent c'est nous les stagiaire qui effectuons les toilettes, seules sans aides. Mes personnellement je pense que la personne ?e est plus respect? quand c'est une stagiare qui le fait plut?'une aide soignante. Souvent la mal adresse des aides soignantes vient qu'elles sont dits aides soignates mais que en r?iter elles sont AMP, et ne connaissent rien au soin! Mais ce n'est pas une raison, il faut que tous cela change car beaucoup de personnes sont mal heureuses et elles ne peuvent le dire. F?citation pour le document ci-dessus, il est instructif.
    6
    visiteur_amandine
    Mardi 20 Mai 2008 à 16:13
    bonjour je suis actuellement en train de r?ser pour mon oral afin d'entrer ?'ifsi de la roche sur yon pour devenir infirmi?.
    Je te f?cite pour ce m?ire, tu dis tout haut ce que beaucoup de personnes n'osent pas r?ler. Personne n'ose parler r?lement de la toilette d'une personne ?e, trop de tabous subsistent encore ?e propos. On parle de la maltraitance des personnes ag?, mais on parle peu de leur intimit?ui n'est pas toujours respect? Je pense que tout le monde devrait lire ton m?ire et "en prendre de la graine", que ce soit les professionnels sur le "terrain" depuis longtemps ou les nouveaux arrivants comme moi (je l'esp?). Une personne reste une personne, elle ne perd pas sa valeur parce qu'elle vieillit. Certains comportement sont innadmissibles!
    merci d'avoir r?l?t publi?ne r?it?arfois dure ?dmettre.
    bonne continuation
    7
    visiteur_mathé
    Mercredi 28 Mai 2008 à 10:11
    Karine, je n'ai pas lu ton m?ire mais la pr?ntation globale. Ton sujet est tr?important vu le contexte de la population vieillissante. Je suis formatrice de tout personnel travaillant aupr?des personnes ?es et je d?loppe +++ tout cet aspect du respect de le pudeur, de l'intimi?orporelle mais aussi l'intimit?e la personne ?e en g?rale. J'interppelle les professionnelles sur leur propre pudeur et sur ce qui pour elles est de l'ordre de l'intime etc. J'ai appr??e commentaire de la stagiaire qui ?it que bien souvent les stagiaires sont plus respectueuses que les titulaires du poste.
    N'ayant pas eu acc??on m?ire, j'ignore sur quelle bibliographie tu t'es appuy?:
    As-tu lu "Humanitudes" de Y.Gineste et J.P?ssier ? C'est un livre ?onseiller vivement ?es coll?es. Notamment pour apprendre ?ommuniquer avec une toilette aupr?d'une personne grabataire.
    Bravo pour avoir travailler sur ce sujet.
    M.GUILLAUME
    8
    visiteur_marine
    Mardi 4 Novembre 2008 à 14:43
    je suis actuellement ?ve infirmi? en 3?nn?et mon tefe porte sur le respect de la personne soign?(donc le plus souvent ?e) lors de la toilette (surtout lorsque ce soin se fait ?) ,qui est donc un soin infirmier faut il le rappeler (bcp d'IDE ne le pratiquent pas, par manque de temps bien souvent, et d'autres fois parce qu'elles estiment que ca ne rel? pas de leur comp?nce...)
    je suis rassur?de voir que mes inspirations ressemblent aux tiennes, mais un peu d?sp?e de voir que c'est un sujet qui dure perdure ,quitte ?tre banalis?j'esp? garder cette motivation qui m'habite pour faire changer autant que possible cet ?t de fait! bonne continuation!
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    9
    patou1001
    Jeudi 4 Juin 2009 à 17:34
    bonjour, je suis étudiante infirmière de 2ème année et je commence à réfléchir sur le thème de mon mémoire.Depuis l'année dernière je sais que mon sujet sera sur le soin qu'est la toilette, peut être plus particulièrement la place que le soignat donne à ce soin d'hygiène
    évidemment tout ça est encore vague et nous n'avons encore pas discuter de cela avec les formateurs.cependant je fais quelques recherches et après avoir vu un extrait de ton travail, je le trouve très intéressant .
    Voilà pourquoi j'aimerais le découvrir un peu plus
    mon e-mail : patou1001@sfr.fr
    10
    bonjour
    Jeudi 29 Octobre 2009 à 07:10
    ma maman rencontre de sérieux problèmes avec les aides à domicile qui viennent pour laver mon papa. Ce dernier a 93 ans et ne peut plus se servir de ses jamabes, maman elle a 85 ans. Certaines des aides qui viennet pour faire la toilette de papa, sont particulièrement désagreables et s'en prennent à maman qu'elles voudraient bien voir les aider. suite à une succession de querelles, l'associaiton responsable de ces aides a décidé de ne plus venir en aide à ma mère ! En a-t-elle le droit ? Y a-til un recours possible ? Quand on sait qu'aussi bien la responsable de cette association que la personnalité politique la supervisant soutiennent sans en démordre le comportement et les agissements des aides ? Merci de bien vouloir m'éclairer à ce sujet
    11
    fifilamalice
    Mercredi 25 Novembre 2009 à 01:23
    Bonsoir,

    dommage que l'?iture soit si petite, je vais donc faire un copi?oll? Merci pour ce partage
    12
    ymlnm
    Mardi 5 Janvier 2010 à 10:27
    JE SUIS TRES INTERPELLEE PAR VOTRE MEMOIRE REALISEE SUR LA PUDEUR MOI-MEME DANS LE DOMAINE DE LA SANTE ET DU SOCIAL JE SUIS CONCERNEE DIRECTEMENT ET SOUHAITERAI DECOUVRIR CE QUI POUR MOI DOIT ETRE DANS LA PROFESSION PRIMORDIAL DE RESPECTER ET TENIR COMPTE ENVERS NOS PATIENTS...
    MERCI D'AVANCE DE ME FAIRE PARTAGER CE MEMOIRE QUI DOIT ETRE SANS NULS DOUTES PATIONNANT !
    13
    melenig Profil de melenig
    Mercredi 6 Janvier 2010 à 20:26
    encore faudrait-il me laisser vote mail ! ;-)
    14
    phanie76
    Mercredi 20 Janvier 2010 à 17:36
    bonjour, j'ai 33 ans, je suis originaire de brest, je vis à paris avec mes 2 enfants. Après avoir travaillé 9 ans en tant qu'aide-soignante en gériatrie je suis actuellement en 3è année à l'école d'infirmière. Je réalise mon TEFE sur le repect de la pudeur des personnes âgées en institution. Après avoir validé ma question de recherche j'en suis à mon cadre théorique, mais je m'éparpille un peu et je ne sais pas trop comment organisé les choses. Causes ? Conséquences ? Pourrais je avoir quelques pistes?
    Merci et bon courage
    phanie.gouez@free.fr
    15
    fazou77
    Samedi 13 Février 2010 à 22:15
    bonsoir
    actuellement en ifsi, entrée en septembre; j étais aide soignante; Je voudrais savoir si depuis que vous avez eu votre diplome et donc que vous avez fait votre mémoire, vous avez vu un changement 1 dans vos pratiques, 2 dans les pratiques soignantes en général;
    Notre travail en ethique nous sensibilise au respect de la pudeur et de la personne en son integralité, certains pensent qu on devient inevitablement "irrespectueux" suite àa la surcharge de travail. Je pense que non pas forcément , avec le recul qu en pensez vous ??
    merci de votre réponse, (ps : je n ai pas encore choisi de theme pour le memoire mais je m oriente vers : les motivations pour un metier d infirmier
    16
    laeti3095
    Mardi 1er Février 2011 à 14:38
    Bonjour, je fais acutellement mon travail de mémoire sur le thème du respect de la pudeur chez la personne agée pour l'obtention de mon Bachelor en Soins infirmiers. Pourriez vous me partager votre travail? Afin d'avoir votre vision de la chose...Merci d'avance
    Laetitia
    Mon e-mail: laeti3095@hotmail.com
    17
    melanie
    Lundi 6 Février 2012 à 10:56
    bonjour , je suis actuellement étudiante en soins infirmiers , et votre mémoire m'intéresse beaucoup ! serait til possible de le consulter entièrement pour pouvoir avoir des pistes de recherches... merci tampopo_chan@hotmail.com
    18
    davide
    Samedi 24 Mars 2012 à 18:13
    bonjour je sui actuellement en derniere année de formation infirmier et je travail sur la pudeur en maison de retraite face au concept de proximologie . il me plairait de lire votre mémoire pour m'aider dans la redaction du concept de pudeur.qui aurait des document j'accept tous :david.allavena@gmail.commerci d'avancedavid
    19
    antony
    Mardi 5 Novembre 2013 à 19:32
    bonjour, je suis etudiant en 3eme année et mon TFE est la perte de la pudeur chez la personne agée en institution est ce que je pourrais avoir la bibliographie qui vous as servi pour votre mémoire car j'avoue difficile de trouver beaucoup d'article. merci par avance.
    20
    karine
    Mardi 5 Novembre 2013 à 20:14
    bonjour , pour vos demandes particulières, merci de m'adresser un mail avec une adresse à laquelle répondre !
    21
    ec2742
    Vendredi 10 Janvier 2014 à 10:04
    Bonjour, Je suis un homme de 57 avec à mon actif 19 hospitalisations. 2 AVC, un cancer et diverses autres pathologies plus ou moins graves, m'on permis de voir où été le respect de la pudeur pour le patient. Ce que j'ai vécu m'a provoqué un tel traumatisme que j'en suis arrivé à refuser toute approche du corps médical et sur directives de 6 pages déposées auprès de mes personnes de confiance, je décide moi-même de mes prises en charge, sinon refus de soins immédiats y compris en état d'urgence. Pour moi et au vu de mon traumatisme qui est toujours gravé en mon esprit, je refuse dorénavant que l'ensemble du corps médical féminin ne m'approche. Dans le cas contraire je deviens agressif et cela peut avoir de graves conséquences pour lesquelles je suis en aucuns cas responsable. Autant vous dire que je suis déterminé de me faire dorénavant respecté en la matière que cela plaise ou déplaise à quiconque ! * Quand vous surprenez une infirmière en train de réaliser une fellation sur vous et à l'abri de tous regards alors que j'étais en phase de réveil suite à une courte anesthésie générale. * Quand vous êtes exposé totalement nu devant 5 étudiantes sans aucun drap sur vous pour subir un examen intime, que vous demander au médecin que ces gens sortent immédiatement du bloc et que l'on vous répond de vous taire car l'examen est engagé. * Quand deux infirmière vous découvrent pour réaliser un rasage de pilosité sur vos parties intimes, et vous disent : Hooo qu'elle vue matinale et agréable ce matin ! Bref et j'en passe, et vous ne pouvez pas vous imaginez ce que j'ai encore vécu; UNE HONTE ! Vous comprendrez maintenant ma révolte envers le corps médical que je ne peux plus encadrer. Suite à cela sachez que mon état de santé devient de plus en plus grave, car je refuse dorénavant de me soigner. J'ai mis fin à tous mes traitements, suivis et traitements obligatoires qui m'avait été prescrit à vie depuis 2004. J'ai même interdit aux pompiers et au Samu qui avaient été appelés par une de mes filles de me transférer à l'hôpital suite à un malaise cardiaque. Ils sont donc tous repartis à vide et ce à plusieurs reprises au nom de mon droit de refuser tout consentement sur ma personne, sous peine d'une nouvelle atteinte à mon intégrité physique. Je préfère encore quitter ce monde avec le peut de dignité qui me reste encore, plutôt d'être entre les mains de ces gens indignes et encore je suis gentil, car je n'ai plus de mots pour qualifier ces individus infâmes...... Je n'ai été dans ces hôpitaux qu'un morceau de viande sur un étal de boucher ! A ce jour cela est et sera terminé..... Merci à vous d'avoir bien voulu me lire ! Erick
    22
    Chloé
    Samedi 6 Décembre 2014 à 12:01
    Bonjour, Votre article me parait très intéressant mais il y a trop de publicités qui envahissent l'écran et c'est écrit trop petit!!! Difficile de se concentrer jusqu'au bout.. Dommage!!
    23
    karine
    Samedi 6 Décembre 2014 à 15:54
    Bonjour, je suis désolée de toutes ces pubs, je ne suis plus très active sur ce blog, et du coup les publicités l'envahissent. C'est le travers des blogs gratuits...
    24
    Adrien
    Lundi 20 Juillet 2015 à 13:00
    Bonjour Karine, Je réalise une thèse en droit de la santé sur la question de la vie privée à l'épreuve de la relation de soin. Accepteriez-vous de me transmettre votre mémoire complet ? adrien.nt2@gmail.com Je vous remercie d'avance, Bien à vous, AN
    25
    Adrien
    Lundi 20 Juillet 2015 à 13:00
    Bonjour Karine, Je réalise une thèse en droit de la santé sur la question de la vie privée à l'épreuve de la relation de soin. Accepteriez-vous de me transmettre votre mémoire complet ? adrien.nt2@gmail.com Je vous remercie d'avance, Bien à vous, AN
    26
    Amandine
    Mardi 21 Juillet 2015 à 08:56
    Bonjour, Étudiante en 3ème années votre mémoire m'aiderais pour la poursuite de mon travail! Pourriez vous me l'envoyer s'il vous plait? Emails:k-kanynda@hotmail.fr
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    Amandine
    Mardi 21 Juillet 2015 à 08:56
    Bonjour, Étudiante en 3ème années votre mémoire m'aiderais pour la poursuite de mon travail! Pourriez vous me l'envoyer s'il vous plait? Emails:k-kanynda@hotmail.fr
    28
    lyes
    Mardi 3 Novembre 2015 à 09:58
    Slt je suis étudiant aide soignant en 1er année j effectué un stage actuellement en ehpad. Je rencontre une difficulté lors de la toilette avec une femme elle ne veut pas que je lui fasse sa toilette et je ne sais pas trop quoi faire pour quel change d avis pourriez vous m aidez à trouvez une solution
    29
    MBOUQUET
    Mardi 26 Septembre 2017 à 12:01

    Bonjour, je travailles actuellement sur mon mémoire ayant pris comme sujet, le respect de la pudeur en milieu hospitalier, je souhaiterai si cela est possible pour vous lire l'intégralité de votre travail qui me semble passionnant ! Merci d'avance bonne journée

    mathilde.bouquet96@gmail.com 

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