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Par melenig le 11 Septembre 2006 à 20:10
source : http://www.fnath.org/
Depuis septembre 2004 déjà 30 000 portables collectés pour
la FNATH, Association des accidentés de la vie, organise
une grande action de solidarité.En donnant votre ancien portable,
4 euros sont reversés à lAssociation (pour les portables en état de fonctionnement).
Demandez une enveloppe pour nous adresser, sans frais, votre portable, cliquez iciDes boîtes Fnath Mobile sont disposées partout en France pour vous permettre de participer à cette grande opération.
Pour savoir où déposer votre portable, cliquez ici.
Partout dans le monde, le nombre dutilisateurs de téléphones portables ne cesse daugmenter. Aujourd'hui, le parc français actif de mobiles est de 40 millions, ce qui signifie que 64 % de la population utilise un portable. Par ailleurs, un utilisateur change son portable environ tous les 18 mois.Ainsi chaque année, près de 12 millions de mobiles sont remplacés et stockés au fond des placards ou jetés entraînant des problèmes de toxicité pour lenvironnement.
Face à cette situation, la FNATH lance une opération nationale de collecte de téléphones portables inutilisés, au profit des accidentés de la vie.
Donner votre ancien portable,
et grâce au recyclage,
4 euros sont versés à la FNATH
(pour les portables en état de fonctionnement).
Les portables récoltés, sont triés, reconditionnés, retraités par la société Eurosource, et, pour certains, revendus dans des pays émergents ; les téléphones pourront ainsi bénéficier à une population qui naurait pu y accéder autrement.
Donner son ancien portable est un geste simple qui représente pour lensemble des personnes malades ou accidentées une action de solidarité importante.Face à l'isolement des personnes accidentées, aux difficultés à faire valoir leurs droits, lAssociation a besoin dêtre soutenue que ce soit bénévolement ou financièrement.
La FNATH compte sur vous pour donner votre (ou vos) ancien(s) portable(s) et ainsi aider les personnes handicapées, malades ou en difficultés à surmonter les différentes épreuves auxquelles elles doivent faire face.
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Par melenig le 31 Mai 2006 à 21:33
Je suis allée à une party, Maman
Je suis allée à une party,
Et je me suis souvenue de ce que tu m' avais dit.
Tu m' avais dit de ne pas boire et conduire
Alors j' ai pris un sprite à la place.
Je me suis sentie fière de moi
De la manière que tu m' avais dit que je ne pouvais pas boire et conduireMême si tous mes amis m' ont dit que je devrais.
J' ai fait un choix-santé Et ton conseil était judicieux
La party a finalement pris fin
Et les jeunes sont partis de la place
Quasiment tous saoûls
Je me suis rendue à mon auto
Certaine de revenir à la maison en une pièce
Je n' ai jamais envisagé ce qui allait se passer
Cela aurait été la dernière chose à laquelle j' aurais pensé
Je suis maintenant allongée sur le pavé, Maman
Et j' ai entendu le policier parler
Dire que le jeune qui m' avait heurté était saoûl
Maman, sa voix semble loin
Je baigne dans mon propre sang
Et j' ai essayé très fort de ne pas pleurer
Je peux entendre l' infirmier dire
"Cette fille va mourir"
Je suis sûre que le jeune ne sait même pas ce qui s' est passé
Pendant qu' il était très saoûl
Vu qu' il a choisi de boire et conduire
Maintenant moi je dois mourir
Donc pourquoi le monde le fait? Maman
En sachant que ça ruine des vies
Et maintenant je meurs de douleur
Dis à ma soeur de ne pas avoir peur, Maman
Dis à Papa qu' il doit être brave
Et que j' irai au Paradis
Écris La fille à Papa sur ma pierre tombale
Quelqu'un aurait dû lui dire
Que c' était mal de boire et conduire
Peut-être que si ses parents lui avaient dit
Je serais vivante aujourd'hui
Mon souffle diminue, Maman
Je commence vraiment à avoir peur
C' est un moment si soudain
Et je ne suis tellement pas prête!
J' aurais aimé que tu me tiennes dans tes bras
Pendant que je suis allongée et que je meurs.
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Par melenig le 20 Mai 2006 à 16:42
WAQUET F : " La parole comme outil de travail"
http://www.bdsp.tm.fr/fulltext/show.asp?URL=/rsi/76/5.pdf'
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Par melenig le 21 Février 2006 à 16:51Espoir pour les douleurs chroniques
Des chercheurs de l'Université de Toronto (Canada) ont trouvé un lien entre inflammation et douleur chronique*. Habituellement, en cas d'événement douloureux, des récepteurs situés au site de la blessure envoient un signal électrique à la colonne vertébrale qui s'achemine ensuite vers le cerveau, mais les cellules ne s'en trouvent pas altérées. Lorsque l'événement douloureux déclenche également une inflammation, les nerfs envoient des données supplémentaires aux récepteurs habituellement « dormants », lesquels produisent des réactions physiologiques dans les cellules. L'équipe canadienne a montré, chez la souris, que cette inflammation faisait augmenter le nombre de certaines protéines spécifiques indispensables à la communication entre les cellules. Ces protéines impriment dans le cerveau une réponse douloureuse qui y demeure après la disparition de la source de la douleur.
Pour le Dr Min Zhuo, principal auteur de l'étude, la réponse inflammatoire du corps sert donc à inscrire la douleur initiale dans notre mémoire. Il espère maintenant que l'identification des mécanismes biomoléculaires en jeu permettra d'améliorer le traitement des douleurs persistantes comme l'allodynie (pour les personnes atteintes, un simple effleurement peut causer une douleur).
* Journal of Neuroscience, 18 janvier 2006, 26(3), 851-61
Panorama du Médecin
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Par melenig le 6 Janvier 2006 à 16:48
Comment trouver sa place de soignant dans une relation humaine au soigné?
Où est la limite à ne pas franchir? Comment rester soignant en permettant malgré tout à une relation humaine de se créer? C'est la toute la richesse personnelle des soignants: savoir soigner en restant humain, mais pas en devenant ami ou proche...
Je suis tous les jours confrontée à cette question. Dans le travail auprès de patients "chroniques", qui reviennent régulièrement, que vous connaissez, que vous voyez grandir et/ou évoluer dans la vie, il est parfois difficile de garder la fameuse "distance thérapeutique". Quand on travaille auprès de personnes de la même "génération", auquel il est parfois possible de s'identifier, ou que l'on pourrait fréquenter à "l'extérieur" s'il n'y avait cette notion de soin..., il est souvent difficile de mettre une limite à la relation qui s'instaure.
Dans le service où je travaille, nous accueillons entre autres des patients atteints de mucoviscidose. Ils ont pour la plupart été suivis par le même centre de soins depuis leur petite enfance. Dans ce service, les patients et personnels se tutoient... Cela m'a beaucoup perturbée les 1ers jours, et puis je m'y suis habituée. Je suis parvenue, du moins je crois, et avec le temps, à garder ma place de soignante tout en laissant une petite place à une relation un peu plus "personnelle". Mais tout le monde n'y est pas préparé, il y a des fois où le soignant se laisse déborder et où, dès lors, il n'est plus soignant...
Les personnes travaillant dans le milieu socio-médical ont je crois besoin d'une force de caractère qui leur permet de soigner d'autres personnes de la manière la plus humaine possible. Mais il faut se préserver, et l'on voit aussi des soignants se réfugier à l'inverse dans le soin au corps (et non plus à la personne) pour ne pas avoir à souffrir soi même.
Où est le juste milieu? Il n'y a pas de recette miracle, ou en tout cas je ne la connais pas. Chacun aborde les choses à sa manière, c'est toute la complexité de la nature humaine. Le tout est de garder en tête que le soignant est là avant tout pour soigner, tant mieux s'il peut le faire d'une manière plus humaine qu'un autre !
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