• Alors, commençons par le plus "vieux" : mes études... avant l'école d'infirmière

    Tout d'abord, j'ai eu la chance de pouvoir passer un baccalauréat général (Economique et Social pour être précise). Je dis que j'ai eu de la chance, car à l'époque je ne savais toujours pas ce que je voulais exercer comme métier, vers quelles études m'orienter... Je savais seulement que je voulais travailler dans le secteur social ou médico-social (comme quoi on peut changer d'avis avec l'expérience : c'est dans le médico-social que je travaille aujourd'hui!). J'ai donc obtenu mon bac ES en 1996 (bouhhh, les années passent...). Cette année là, pour être sure de ne pas me retrouver sans rien après, je m'étais inscrite partout : BTS, fac (j'aurais choisi psychologie si j'avais dû y aller je pense), et une prépa aux concour paramédicaux.

    J'avais également passé 2 concours d 'entrée en école d'infirmière,  1 en école d'éducateur spécialisé, et 1 autre en école d'assistante sociale... auxquels j'ai échoué, mais où j'ai pu aller jusqu'aux entretiens, ce qui m'a bien servi par la suite!

    J'ai finalement opté pour la prépa aux concours paramédicaux, et je ne remercierai jamais assez mes parents, car c'est eux qui ont tout financé pour me permettre de faire mes études. 8 mois à ne faire que des tests psychtechniques, à faire des synthèses de culture générale, des maths, de la biologie, du français, et à passer des "concours blancs". D'ailleurs cette année là, les entretiens blancs que j'ai passés ont été catastrophiques, heureusement que ceux passés l'année de mon bac avaient été mieux, sinon j'aurais capitulé. Comme quoi il ne faut pas s'arrêter sur une mauvaise expérience !!! Pendant la prépa, on nous a aussi conseillé de faire un stage d'observation au minimum pour voir ce qu'était vraiment le métier vers lequel on s'orientait, ce que j'ai fais et que je recommande à tous. Quelques jours peuvent suffire alors n'hésitez pas à demander une convention de stage dans votre lycée ou école!

    J'ai dû (et surtout pu) passer plusieurs concours, pour finalement être prise sur plusieurs écoles (comme quoi la prépa est utile quand on peut la faire, en tout cas au moins pour passer le cap de l'écrit, car à l'oral c'est à vous d'assurer!), et j'ai choisi de rester en Bretagne pour faire mes études, à Morlaix dans le Finistère pour être exacte.

    Voilà mes premiers pas avant l'école d'infirmière.


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  • Bonjour à tous et à toutes,

    Suite à de nombreuses questions de "postulants" à  l'entrée en IFSI, j'ai décidé d'ouvrir cette rubrique pour vous parler de mon parcours d'études, du concours d'entrée en IFSI et des études d'infirmière, et de ma "carrière".

    Cependant, il existe déjà des sites professionnels qui parlent très bien de la profession et des études, où il y a des forums pour échanger avec beaucoup de monde, je vous invite donc à aller leur rendre visite, car je ne ferai jamais quelque chose d'aussi complet!

    Bonnes visites et à bientôt !


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  • un livre sur la profession, des liens, des témoignages

    être infirmier aujourd'hui

    par Philippe Gaurier

     


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  • le voilà en ligne :

    Plan d’amélioration de la prise en charge de la douleur (2006 - 2010)

    le plan d’amélioration de la prise en charge de la douleur 2006-2010 repose sur quatre axes :

    • l’amélioration de la prise en charge des personnes les plus vulnérables (enfants, personnes âgées et en fin de vie) ;

    • la formation renforcée des professionnels de santé ;

    • une meilleure utilisation des traitements médicamenteux et des méthodes non pharmacologiques ;

    • la structuration de la filière de soins

    Beaucoup de choses sont encore à faire pour améliorer la prise en charge de la douleur, espérons que ce plan nous y aide !


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  •  Un article d' egora.fr

    Le cannabis efficace dans la prise en charge de la douleur

    "post-opératoire. A.Holdcroft et coll. Anesthesiology 2006 ; 104 : 1040-1046.
    Dr Gérald KIERZEK
    Le cannabis a des effets antinociceptifs doses dépendants prouvés chez l´animal. L´objectif de cette étude clinique était d´évaluer l´efficacité analgésique post-opératoire de différentes doses d´extrait de plant de cannabis, de rechercher la dose optimale et de mesurer les effets secondaires.
    Les patients recrutés, âges de 18 à 75 ans, donnaient leur consentement avant l´acte chirurgical pour participer à l´étude et étaient formés à l´utilisation d´une PCA. Chaque patient recevait une dose unique de cannabis de 5, 10 ou 15 mg dès que l´analgésie autocontrôlée par le patient était jugée satisfaisante et que le recours à des antalgiques oraux était indiqué. Scores de douleur et effets secondaires (sédation, nausées, vomissements,…) étaient recueillis par les auteurs. Tous les patients (n=11) recevant 5 mg de cannabis ont nécessité d´autres antalgiques. 15 patients sur 30 (50%) ayant reçu 10 mg et 6 sur 24 (25%) ayant reçu 15 mg ont nécessité une analgésie supplémentaire. Dans cette étude d´escalade de doses de cannabis, les groupes 10 et 15 mg ont permis une réduction significative de la demande d´antalgiques et une augmentation du délai de recours à ces antalgiques, avec respectivement 50 et 75% de patients n´ayant nécessité aucun autre traitement antalgique post-opératoire. "


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